La réception française de l’œuvre de João Guimarães Rosa tient un peu de la rencontre manquée. Elle avait bien commencé avec le vif intérêt des éditions du Seuil, qui avaient préempté les droits sur le roman Grande sertão : veredas. Le cinquantenaire de sa mort fournit l’occasion de revenir sur les heurs et malheurs de notre lecture et de quelques malentendus suscités par cette œuvre majeure.
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