Cet article a pour but de réaliser une réflexion critique sur le processus de standardisation pratiqué dans des traductions de textes réputés "intraduisibles" par sa charge sémantico-esthétique. Dans ces cas, il appartient au traducteur le rôle de créateur, responsable, quand nécessaire, par l'actualisation de la langue-cible pour qu'elle reçoive ce nouveau texte dans ses diverses dimensions linguistiques. Pour ce faire, j'analyserai les deux traductions françaises de l'oeuvre de João Guimarães Rosa, Grande Sertão: Veredas, sous l'optique de la théorie développée par Antoine Berman.
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